« Les hommes construisent trop de murs et pas assez de ponts » (Isaac Newton).

         Personnellement, j’aime immortaliser les premiers autant que les seconds. Lorsque les murs (en béton, en verre ou autres matériaux) sont photographiés en contre-plongée, ils nous permettent d’avoir une perspective sans limite ; de la même façon, les ponts ouvrent des voies de communications entre les êtres humains. Les premiers font appel à notre propre imagination, les seconds sont des passerelles de la réalité.

         J’avoue aussi que ma formation scientifique m’incite à observer, puis photographier les lignes, quelles soient droites ou courbes, verticales, horizontales ou obliques, elles quadrillent notre espace en différentes formes géométriques avec beaucoup d’esthétique et d’équilibre, ce que « l’homme à la pomme », cité plus haut, n’aurait pas renié.